La pollution de l’air en Chine : bientôt l’airpocalypse ?

La pollution est le quotidien de millions de Chinois, spécialement dans les grandes villes. Elle tue 1,6 million de personnes chaque année. Elle varie selon les températures, selon les saisons mais est tous les jours plus ou moins présente.

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Jour de forte pollution à Changsha (Hunan)

La pollution, telle qu’elle est mesurée selon l’échelle de l’OMS se définit par des particules fines, du dioxyde de soufre, du dioxyde d’azote et de l’ozone. En Chine, le niveau d’alerte à la pollution est déclenché à partir de 150 microgrammes cube d’air de particules fines (PM), ce seuil est 6 fois supérieur aux normes de l’OMS.

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À Shanghaï, la pollution se ressent lorsqu’elle est très forte, et parfois ses effets sont directs : essoufflement, toux, maux de tête. Lorsqu’elle est excessive ou extrême, il faut veiller à ne pas faire d’efforts physiques, à manger en intérieur ou carrément à éviter de sortir. Pour la mesurer chaque jour, j’utilise l’application américaine Plume. Sur l’application la pollution varie selon plusieurs niveaux.

Le gouvernement chinois maîtrise-t-il la pollution ?

En Chine, le pouvoir dispose d’un site « officiel » pour informer les habitants sur le niveau de pollution, mais les données « scientifiques » diffusées ont longtemps été inexactes. Un étudiant m’a même confié qu’elles étaient complètement erronées pendant les dernières années : car la pollution est très visible, et le gouvernement a souvent donné des niveaux « low » ou « moderate » pour la définir les jours de très forte pollution. Les Chinois ne sont ainsi pas toujours informés de la gravité de la situation.

La pollution : un sujet tabou ?

Les chinois ont ironiquement instauré les défilés de masque de pollution, lors de la fashion week de Beijing en 2016.

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Les journalistes essaient de faire bouger les choses. Le documentaire « Under the dome » très connu en Chine, réalisé par le journaliste Chai Jing, relate les effets dévastateurs de la pollution en Chine.

Un fait qui me choque particulièrement, est la manière dont la Chine essaie de garder la face en arrêtant ses usines pour des occasions spéciales. En effet, pour les évènements importants comme les Jeux Olympiques, le Nouvel An chinois, la réélection de Xi Jinping ou la venue d’un invité international, le gouvernement fait en sorte de réduire la pollution au maximum. Pour le Nouvel An chinois, les médias chinois ne diffusent par ailleurs aucune mauvaise nouvelle.

Le gouvernement prend des mesures pour lutter contre la pollution, tout comme s’engager dans l’accord mondial à propos du changement climatique la Cop 21. D’ailleurs, le retrait des Etats-Unis de l’accord sert l’image internationale de la Chine, puisqu’elle peut maintenant s’affirmer comme un pays engagé contre le réchauffement climatique. Par ailleurs, les véhicules électriques se développent beaucoup ici. Les vélos sont très utilisés pour se déplacer dans Shanghaï.

Mais qu’est-ce qui cause la pollution ?

La Chine est un pays très industrialisé, qui utilise beaucoup de charbon, tirant plus de 64% de son énergie de ce minerai très polluant. La Chine serait même le 1er émetteur de gaz à effet de serre sur Terre. Elle a prévu l’arrêt de centaines de centrales de charbon, au profit des énergies renouvelables. La région autour de Pékin est le cœur industriel du pays, ce qui explique la forte concentration de la pollution dans cette ville.

Richard Muller, professeur de physique américain, alerte sur la dangerosité de la pollution dans un article du Monde.

« La pollution atmosphérique est la pire catastrophe écologique dans le monde aujourd’hui »

« Lors de ma dernière visite à Pékin, la pollution avait atteint un niveau dangereux : chaque heure d’exposition réduisait mon espérance de vie de 20 minutes, raconte-t-il. C’était comme si chaque homme, femme et enfant fumaient 1,5 cigarette toutes les heures. »

Alors, peut-on espérer des journées moins polluées pour la deuxième puissance économique mondiale ? 

Anne-Sophie Ply

Voyage dans le Hunan : Fenghuang

Lors de notre séjour dans le Hunan (1rst step in Zhangjiajie), nous avons fait étape dans le pittoresque Xian de Fenghuang, aussi surnommé Phoenix, en référence à l’oiseau mythique. Une légende raconte que deux Phoenix auraient vu le jour dans cette ville, et n’auraient pas pu la quitter tant ils la trouvaient belle, ce qui fait de Fenghuang l’une des plus belles vieilles villes de Chine. En effet, la Phoenix City m’a surprise et m’a séduite dès les premières minutes de mon arrivée.

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Le paysage montagneux, les maisons traditionnelles qui jonchent la rive, et les grands remparts sont époustouflants. La nuit, il y règne une ambiance de fête mais aussi d’histoire.

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L’architecture de la ville n’a pas beaucoup changé au cours des siècles, mais elle est devenue très touristique. Ainsi, vous pouvez vous balader dans ses petites ruelles et découvrir de nombreuses boutiques touristiques, des bars occidentaux (un peu chers), ou vous promener sur les vieux remparts de la ville… Vous pouvez aussi avoir de très bonnes surprises, et faire de belles rencontres.

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Nous avons ainsi pu diner dans un excellent petit restaurant le soir de notre arrivée, avec de petits prix et un accueil très chaleureux !

Malgré la vue à couper le souffle et l’ambiance de la ville, il y a une chose que j’ai moins apprécié, et qui reflète sans doute la « vraie » Chine, celle qui existe en province mais pas à Shanghaï. C’est les nombreux restaurant présentant les animaux en cage : poules, lapins, tortues, poissons (parfois en mauvais état) et j’en passe… sont mis à disposition des touristes qui les choisissent pour diner. Un spectacle qui m’a interpelé, et m’a poussé à la réflexion sur la cause animale. (Pour précision, ma consommation de viande et de poisson est moindre en Chine).

Un peu d’organisation..

On ne peut se rendre à Fenghuang et en repartir uniquement par bus. Accrochez-vous : le voyage peut être de longue durée, et les chauffeurs ne conduisent pas toujours très bien. Mais ça vaut vraiment le coup !

IMG_0516Nous sommes restés 2 jours dans la ville et nous logions dans une petite auberge de jeunesse à proximité du centre-ville. Surprise ! Les toilettes et la douche disposaient d’une évacuation commune..

 

À proximité de Fenghuang, il y a aussi la seconde muraille de Chine.

 

Si vous voyagez dans le Hunan n’hésitez pas à visiter cette ville !

Anne-Sophie Ply

 

 

 

Voyage dans le Hunan (1rst step in Zhangjiajie)

Il y a une semaine, c’était la Golden Week : l’une des deux semaines de vacances nationales données par le gouvernement chinois. Celles-ci commençaient le 1er octobre, à l’occasion de la fête nationale chinoise. Les « Golden Week » n’existent que depuis 1999, et ont été instaurées pour promouvoir le tourisme à l’intérieur du pays. À l’échelle d’un pays de plus d’1 miliard d’habitants, vous imaginez bien que ce n’est pas la semaine de vacances idéale pour voyager dans les grandes villes, les lieux touristiques ou tout simplement pour se déplacer par n’importe quel moyen qui soit.

cartePrenant le soin d’éviter les plus grandes villes chinoises, j’ai donc choisi, accompagnée de trois amis, de partir à la découverte de la province du Hunan, à 900 km de Shanghaï. Au programme du voyage, trois escales : Zhangjiajie, le Xian de Fenghuang et Changsha (chef-lieu de la région du Hunan). Après 2h de métro, 2h d’avion, une nuit très courte à Changsha, puis près de 6h de bus, nous sommes arrivés à Zhangjiajie où nous avons pu prendre une navette pendant 1h30, laquelle nous a amenés jusqu’à l’entrée du parc. Nous y sommes restés 2 jours.

Zhangjiajie National Forest Park

Si ce lieu ne vous évoque sans doute rien au premier abord, sachez que ses montagnes sont connues pour avoir inspiré James Cameron pour la réalisation de son film Avatar. À 400km de Changsha (le chef-lieu du Hunan), le parc forestier est classé depuis 1992 au patrimoine mondial de l’UNESCO.

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Le parc s’étend sur une région de 130 km2 et abrite une grande variété d’arbres rares, mais aussi quelques animaux (panthères, singes..).

DSC_0294Voir des singes évoluer en liberté était une grande première pour moi, et j’ai été surprise par leur malice. Je m’apprêtais en effet à manger une madeleine encore emballée, quand un singe hurlant et portant son petit a voulu se jeter sur moi. Très impressionnant ! J’ai compris, un peu trop tard, que les singes étaient en fait voleurs, et qu’ils n’hésitaient pas à s’emparer de tout ce que les touristes laissaient à portée de leurs mains : sachets de brioche, sacs à mains, portables… Les touristes, un peu maladroitement, s’en donnent à coeur joie et les attirent, à leur péril, en leur tendant bananes ou toute autre nourriture qui pourrait les appâter. Un jeu dangereux !

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Le parc est très grand, assez pour ne pas ressentir la Golden Week. Nous avons pu gravir les 3878 marches en 2h30 et observer, depuis le sommet, un panorama exceptionnel. Le temps était idéal, pas trop chaud ni trop pluvieux et la vue : à couper le souffle !

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Le lendemain, nous nous sommes rendus en haut des montagnes Na’vi par télécabine. Un spectacle vertigineux qui nous a fait traverser les nuages. Le temps pluvieux ne nous a néanmoins pas épargné quelques glissades lors de la descente.

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Si vous n’avez pas le vertige et que vous réservez à l’avance, vous pourrez très certainement vous aventurer sur le pont en verre construit dans le parc 300 m au-dessus du sol et qui est d’une longueur de 430m.

Bref, si vous aimez la nature, la montagne, et les beaux paysages vous ne devez pas manquer ce parc naturel lors de votre voyage en Chine !

Le coût de l’entrée du parc est de 163 ¥ avec également une télécabine à 46 ¥ (prix étudiant).

Anne-Sophie Ply

Shanghaï, entre tradition et modernité

À l’image de la vision que l’on peut se faire de la Chine, Shanghaï a su conserver de sa culture et de son histoire de très beaux quartiers. Maisons typiques, temples bouddhistes ou encore gratte-ciels : je vous propose de découvrir quelques lieux qu’il ne vous faudra manquer sous aucun prétexte si vous venez en terre shanghaïenne.

Jing’an temple

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DSC_0867Situé dans le district de Jing’an, le temple de la Paix est un temple Bouddhiste fondé en 247 après J.-C. Ce temple m’a impressionné tant pour son architecture faite de bois, que pour la spiritualité qui s’en dégage.

De nombreux Chinois viennent s’y recueillir, saluer les dieux avec de l’encens, prier devant les statues des divinités bouddhistes, ou encore jeter des pièces dans une fontaine à l’entrée. Un lieu culturel qui m’a beaucoup marqué !

prix : 50¥

Yuyuan Garden

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DSC_0487Au centre de la vieille ville de Shanghai, le jardin Yuyuan est l’un des plus somptueux de Chine ! Rochers, étangs, jardin intérieur : ce lieu paisible en apparence est en réalité très touristique. À ne pas visiter les jours d’affluence.

prix : 20¥ pour les étudiants 

Quittons maintenant le jardin pour nous rendre au cœur de la vieille ville à quelques pas de là..

Vieille ville

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Il est plaisant de se perdre dans la vieille ville de Shanghaï, parmi les imposants pavillons dont les avant-toits sont relevés de manière gracieuse. Au détour d’une rue, on peut apercevoir le temple du Dieu de la Ville, qu’il me tarde de découvrir.

Le temple de Confucius est visitable non loin de là, pour seulement 10¥.

 

Qibao

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Qibao ou « les sept trésors » en Chinois, est une ville concomitante à Shanghaï, traversée par deux voies d’eau. C’est un endroit où se perdre dans les petites ruelles est un plaisir pour les yeux. Les odeurs elles, peuvent parfois être surprenantes, comme lorsque vous vous baladez dans une rue où cuisent des foies de canard.

 

Construite à la verticale, Shanghaï est aussi une métropole mondiale moderne, qui semble défier toutes les grandes villes du monde. La perle de l’Orient, a longtemps été occupée par d’autres pays : Français, Américains, Britanniques, Russes ou encore Japonais ont ainsi laissé leurs traces dans la ville (concession française, concession internationale…).

C’est seulement en 1992, après les guerres de l’Opium que le président Deng Xiaoping a décidé de relancer le développement de la ville pour qu’elle retrouve sa place de centre financier de l’Asie. 

Nanjing Road

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Bienvenue sur les Champs Elysées de Shanghaï ! Cette grande avenue haute en couleurs s’étend sur cinq kilomètres, et passe par People Square, la place centrale du coeur de Shanghaï.

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Le Bund

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Le Bund, ou littéralement « rive boueuse » est un quartier très touristique jalonnant la riviere Huangpu. Le Bund est jonché de bâtiments issus de la colonisation, un style qui rappelle l’architecture des pays occidentaux. On y trouve surtout des banques, des hôtels ou encore des bars somptueux tel que le bar rouge, le plus fancy et somptueux dans lequel il m’a été donné d’aller !

Mais ce qui est le plus connu sur la promenade du Bund, c’est la vue sur le district de Pudong !

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Maintes fois, avant mon départ, j’avais imaginé ce paysage. La première fois que je m’y suis rendue, la pollution masquait les plus hauts grattes-ciels, ce qui atténuait le spectacle. Cependant, de jour comme de nuit, la vue est à couper le souffle !

Bien entendu, la liste des lieux à voir n’est pas exhaustive, il me reste tant à découvrir dans cette immense ville…

 

 

Premières impressions

Voici maintenant 12 jours que je suis arrivée à Shanghaï. 12 jours intenses et dépaysants dont j’aimerais vous livrer mes premières impressions.

Le climat

La première chose qui est frappante à la descente de l’avion, c’est l’humidité et la chaleur qui contrastent très fortement avec ce que l’on peut ressentir en France. Un voile humide se plaque sur nous, assez désagréable. Pour autant, l’humidité semble s’estomper de jours en jours, je ne sais pas si c’est moi qui m’adapte ou si le temps devient plus sec. Le temps est un réel avantage, malgré l’humidité le temps est chaud, et c’est agréable de vivre un second été, si différent de la France, avec des soirées plutôt chaudes. La pollution elle, est plus ou moins visible selon les jours. Par exemple, vous pouvez constater une notable différence entre ces deux photos.

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Les chinois ne parlent pas anglais

Ici, il est bien difficile de se faire comprendre. Pour communiquer, il faut maîtriser le mime à la perfection, ce qui complique bon nombre de choses ! Pour les repas, il faut veiller à bien se faire comprendre, on peut facilement se retrouver avec une cuisse de grenouille dans son assiette à la place d’une cuisse de poulet. Pour les transports, c’est tout aussi difficile. Il faut toujours veiller à avoir son adresse en chinois.

Shanghaï, une ville à 100 à l’heure

Shanghaï est une ville à l’étendue très impressionnante. Pour voyager dans la ville, il ne faut pas vouloir compter les heures : aller sur le bound prend environ 1h30 depuis mon campus. Les distances sont vraiment gigantesques, et il est rare de pouvoir se déplacer uniquement à pied.

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Une belle surprise

Malgré toutes les difficultés rencontrées, les chinois sont très gentils et toujours prêts à nous aider. La nourriture chinoise me surprend tous les jours et je découvre de très bons plats. En ce qui concerne les paysages et l’architecture, un seul mot : c’est époustouflant.

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5 bonnes raisons de partir étudier en Chine

  •  Le dépaysement et l’ouverture d’esprit

Ce choix n’a pas été des plus faciles à faire : partir étudier pour la première fois à l’étranger à 9.528,61 km de chez moi pendant cinq mois, c’est un peu irréaliste ! Et pourtant, dans moins d’un mois, après près de 14h de trajet à destination de Shanghaï, je ferai un saut dans le futur de 6h.

Premiers pas en Asie, arrivée en Chine où tout m’est inconnu et sans nul doute, à peu près toutes mes certitudes seront balayées. Mais c’est aussi ça, que je recherche dans le voyage : me laisser surprendre, et ouvrir mon esprit à une autre culture, qui m’est à ce jour, encore étrangère.

  • Découvrir une culture, une histoire

Pendant mon séjour, j’espère en apprendre plus sur l’Empire du milieu : de sa gastronomie à son histoire. Mais surtout de l’histoire de Shanghaï, qui a eu une évolution très particulière par rapport au reste de la Chine.

À noter qu’une partie de la ville de Shanghaï est une ancienne concession Française et qu’environ 16.000 à 20.000 vivent dans cette ville actuellement (source : consulat de France à Shanghaï).

  • Un pays et une ville qui donnent le vertige

La Chine est l’un des pays les plus peuplé du monde avec 1,4 milliard d’habitants. Shanghaï en est l’exemple parfait puisque cette ville à elle seule compte plus de 24,15 millions d’habitants (source poulation data.net) et est, par définition la ville la plus peuplée de Chine. Shanghaï aurait presque retrouvé son statut de capitale financière de la Chine et son essor est tel que l’on pourrait l’assimiler au New-York de l’Asie. D’ailleurs les chiffres donnent le vertige, et il y a de quoi ! Si je monte en haut de la Shanghai Tower, je pourrai cotoyer les nuages à 632 mètres de hauteur !

(Source : du.gensler.com)
  • Voyager et découvrir des paysages à couper le souffle 

Avec une superficie avoisinant les 9,5 millions de km² en Chine, en peut s’en mettre plein les yeux : Montagnes, déserts, fôrets tropicales, Grande Muraille, palais, temples, cités anciennes fortifiées, villages en pierre…

C’est  le troisième pays le plus grand du monde, derrière la Russie et le Canada, mais devant les USA, le Brésil ou l’Australie.

Photo près de Shanghaï (source : http://www.unfrancaisapekin.com)
  • Vivre sur un campus.. à l’asiatique

Je vais étudier sur un campus international accueillant 70 000 étudiants dont plus de 4000 étudiants internationaux toutes disciplines confondues (chiffres de 2011). L’Université serait même classée en 18ème place dans le « QS World University Rankings Engineering – Civil & Structural’ 

  • (Bonus) : Pour les pandas !

Parce que je suis une fan inconditionnelle des pandas (roux et géants).

 

Mais aussi pour.. boire du thé, apprendre le chinois, découvrir de bons plats asiatiques, dépasser la barrière de la langue…

Bref, pour me laisser surprendre !

Et vous, êtes-vous déjà allés en Chine ? N’hésitez pas à me partager vos avis et bons conseils !